Michel del Ben : "mon idée de justice sociale se transforme aujourd'hui en réalité, au sein d'un parti solide et ambitieux"


Photo : à la Convention municipale du Modem, Paris, 10 février

Michel del Ben, 58 ans, père de 2 enfants et grand-père de 4 petits enfants, magasinier / préparateur de commandes.

Je suis né en 1949 de l’autre côté de la colline, à Sannois, dans une famille issue de l’immigration italienne, nombreuse à Argenteuil dans les années 1925.

Dans ma jeunesse, mon cœur a vite penché à gauche, car la tradition et la culture ouvrière représentaient pour ma génération une avancée et un espoir. J’y voyais une façon de vivre mon rêve de justice sociale.

Puis la vie m’a absorbé et entraîné vers d’autres régions, loin aussi de la politique.

À la quarantaine j’avais gardé au fond de moi cet idéal en pensant confusément qu’il resterait enfoui et inabouti. Après un "accident de la vie", je m’installais à Argenteuil en 2002. Année d’élection présidentielle où je découvris l’engagement de François Bayrou, je fus intéressé puis séduit par son analyse politique et sa passion pour la Vérité. Je lui donnai mon suffrage. Mais j’avais une retenue à m’engager - et pourtant j’approuvais sa démarche « dépasser le clivage droite/gauche ».

En 2007, j'ai voté des deux mains et avec mon cœur. Dans l’optique de la création du MoDem, je fis le pas que je n’osais : j’adhérai, avec toujours cette idée de justice sociale, qui se transforme aujourd’hui en réalité, au sein d’un parti solide et ambitieux. Un parti qui défend l’homme dans la société et lui redonne sa vrai place au lieu de le diminuer ou de l’écraser, car seul l’humanisme le sauvera et lui assurera un avenir.

Pour nous Argenteuillais, notre avenir commence aujourd’hui avec cette élection, et je serai actif pour vous représenter dans la nouvelle municipalité.

Mis en ligne le : Ven. - Février 15, 2008 - 09:07 AM      


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